Le message d'Alain Hiver

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Voici le texte du courriel adressé par Alain Hiver à Ghislaine et Jean-Paul après la soirée du samedi 5 décembre.

 

Chers vous deux,

J’espère qu’il n’est pas trop tard pour vous dire l’immense plaisir que j’ai eu, Odile également, d’être parmi vous en ce samedi passé.

Comme j’aime à le dire en des moments richement vécus, “qu’est-ce qu’on était bien heureux” !

J’ai été très impressionné par l’élan de solidarité qui “persiste et signe” au coeur de cette association.

J’ai ressenti la force bienveillante d’une humanité qui n’a pas besoin de grands discours pour exister : elle Est, tout simplement.

L’émotion bien sûr était aussi au rendez-vous. Une émotion qui sera de toute façon éternelle à chacune de nos prochaines rencontres.

Il est vrai que je ne pensais pas qu’un de mes proches soit victime d’une injustice. Le plus dur, c’est de se sentir impuissant à la réparer d’un coup de baguette magique ou de gueule... Pour moi, l’injustice, c’était dans les livres, à la télévision, dans des films, des émissions à sensation... c’est un peu dur de vieillir et de s’apercevoir qu’une partie de l’humanité fiche le camp dans le sens inverse à celui pour lequel on chante, on milite, on “pédagogue”, on manifeste, on vit...

Alors, ce repas “républicain”, amical et loyal de samedi dernier nous aura sûrement réchauffé l’âme pour un bon bout de temps.

Et ce que j’exprime là n’est que le ressenti d’une seule personne et nous étions quatre-vingt dix...

C’est vous dire la puissance de vie qui régnait autour de nous tous.

Alain

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